The sky above the port was the color of television, tuned to a dead channel.
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Tout à un prix et à un moment on finit par le payer [Auguste Nementia/Terrence Jones]

Terrence Jones
Utilisateur
Terrence Jones
Sujet: Tout à un prix et à un moment on finit par le payer [Auguste Nementia/Terrence Jones]

Terrence leva les yeux au ciel alors qu’elle conduisait à travers le quatrième district. D’épais nuages sombres roulaient au dessus de la cité, ils semblaient s’enrouler autour de la ville, comme un linceul grisâtre, un voile opaque de grisaille. Des fois elle se demandait ce que c’était que de voir le soleil, elle s’interrogeait, est-ce que l’astre existait toujours quelque part, là haut, au-delà de cette épaisse couche de pollution ? Le ciel paraissait tellement insondable. De mémoire, elle ne se souvenait pas d’un jour avoir aperçu le soleil au-dessus de sa tête, le manteau de pollution qui régnait sur le ciel semblait avoir toujours été là, ne se dissipant jamais. Bientôt le soleil, la lune et les étoiles, toutes ces choses qui appartenaient à l’insondable et à l’invisible, ne seraient sans doute plus que des légendes pour les plus jeunes. Déjà pour elle cela paraissait irréel, des lumières qui brillaient dans le ciel, et puis quoi encore ?

Elle reporta son regard sur la route, si on pouvait appeler ça comme ça, c’était plus une piste sinueuse, slalomant entre les piles de déchets et des immeubles en ruines. Ici et là les ordures étaient amoncelées de sorte à former des barricades, ces dernières, bien connues de l’agent de terrain, délimitaient les différents territoires des gangs d’exes, pas un endroit où n’importe qui voudrait aller. C’était dangereux, et les membres de l’Ordre n’y étaient pas les bienvenue, cela tombait bien car pour une fois ce n’était pas discipliner ces troupeaux de mutants qui l’intéressait. Elle était à la recherche d’informations, elle avait entendu parler d’un centre d’accueil niché au cœur du cinquième district et qui appartenait à un notable de la cité, Monsieur Nementia, médecin de son état. Elle avait fait quelques recherches sur lui, mais n’avait pas pu tirer grand-chose, elle savait juste qu’il possédait plusieurs établissements médicaux à travers la ville, des cliniques privées, où les soins devaient probablement coûter littéralement le bras de ses clients. Elle avait eu sous les yeux différents articles et brochures montrant généralement l’homme sous son meilleur jour, tel qu’il était dépeint par les journalistes il paraissait être vraiment un citoyen modèle et un individu affable. Eh bien, il semblait qu’elle allait pouvoir vérifier si les dires de ces journalistes étaient vrais, si elle arrivait à rencontrer ce docteur Nementia. Pour l’heure, elle devait traverser les deux districts les plus dangereux de la cité, afin de se rendre jusqu’au centre d’accueil, pour se faire elle avait emprunté une vieille voiture banalisée, avec ça elle devrait pouvoir passer inaperçue, en espérant qu’elle ne tombe pas en panne au milieu de ce dépotoir. Elle s’était aussi habillée en vêtements civils et avait caché son badge, il ne valait mieux pas entrer en temps que membre de l’Ordre dans le district 5, au risque de ne jamais en ressortir. Elle espérait que ces informations vaudraient les risques qu’elle prenait.

Alors qu’elle traversait le district quatre, elle arriva bientôt en vue du mur qui le séparait du district cinq, sa destination. Elle ralentit alors qu’elle arrivait à hauteur de la large porte qui formait le passage entre les deux districts. Des gardes lourdement armés étaient postés devant la porte, ils lui firent signe de s’arrêter. Elle obéit et ouvrit la fenêtre de son véhicule pour présenter discrètement à l’un des gardes sa plaque d’identification. Le garde prit la plaque d’entre ses mains et la regarda en fronçant les sourcils. « Ce n’est pas votre district de juridiction, que va faire un agent de l’ordre dans le District 5 ? » Demanda-t-il, il semblait surpris de trouver un agent de l’Ordre ici. Elle soupira, autant qu’il crie qui elle était à tout le district… des fois que quelques exes dans le fond n’avaient pas entendus, elle était certaine qu’ils seraient ravis de la trouver ici… « Je suis sur une enquête. » Répondit-elle sèchement. Elle aurait pu lui dire qu’elle allait rencontrer un contact dans le district 5 mais elle n’avait aucune envie de partager ses informations avec cet espèce de sous gradé de pacotille. Le garde relut sa carte, semblant chercher une raison quelconque de la retenir ici, elle soupira d’impatience, il sembla le remarquer, relevant ses yeux vers elle, ils étaient d’un marron terne et sale. « C’est bon, vous pouvez passer. » Finit-il par dire en lui rendant sa carte et en signalant à un autre garde d’ouvrir la porte pour elle. Elle remit le moteur en marche et passa la porte qui se referma lourdement derrière elle.

Elle poussa un soupir, la voilà arrivée à sa destination, le district 5, autant dire que c’était quasiment le bout du monde, plus loin il y avait le grand mur, et au-delà, des étendues sauvages privées de toute civilisation et qui rendaient fous ceux qui s’y aventuraient, si ça ne les tuait pas tout court. Le district 5 était un véritable dépotoir à ciel ouvert. Ce n’était pas la première fois qu’elle y mettait les pieds, elle avait déjà été envoyé en mission dans ce district, quand elle n’était qu’une jeune recrue de l’ordre, elle se rappelait avoir foulé cet endroit en compagnie de sa sœur, à l’époque, mais cela faisait bien longtemps qu’elle n’y avait pas remis les pieds. Si Eddie était quelque part, ça ne pouvait être qu’ici. Elle avança prudemment dans la rue principale, observant avec attention les alentours. Ici son système de guidage était quasiment inefficace, le paysage changeait sans cesse et les routes se creusaient et disparaissaient au grès des tas d’ordures qui occupaient le paysage. Le district 5 était un immense bidonville, d’où s’élevait ici et là quelques rares structures qui n’étaient pas faites de déchets, c’était ce genre de bâtiment qu’elle recherchait. Suivant les indications qu’elle avait trouvé dans la matrice sur l’emplacement présumé du centre d’accueil, elle prit sur sa gauche, puis continua sur une rue qui serpentait entre des maisons qui s’amoncelaient les unes sur les autres dans un étonnant patchwork, ici l’urbanisme avait un sens qui lui était propre.

Bientôt elle repéra l’ombre gigantesque et détonante, dans ce paysage en ruine, d’un grand bâtiment, il ressemblait à ce qu’elle avait pu voir dans la matrice et elle se dirigea vers celui-ci. C’était une sorte d’imposant hangar, sans vraiment de style architectural propre, un simple bloc de tôles et de béton, il y avait une longue queue qui partait de l’entrée jusqu’au bout de la rue. Elle se gara de l’autre coté de la rue, puis quitta son véhicule. En sortant de la voiture elle fut assailli par l’odeur pestilentielle qui régnait partout dans le 5. C’était une odeur d’égout mêlé au parfum des ordures qui jonchaient chaque mètre carré de ce foutu endroit. Pourquoi un aimable docteur comme ce monsieur Nementia s’était-il établi dans un lieu aussi repoussant ? De plus, de ce qu’elle en savait, le docteur vivait dans le 2, dans riche immeuble qui lui appartenait entièrement, pourquoi allait-il se perdre aussi loin de son domicile, dans un endroit pareil ? On dirait qu’elle avait un autre mystère à résoudre, peut-être aurait-elle plus de chance avec celui-ci qu’avec celui de la disparition de sa petite sœur.

Elle fourra ses mains dans les poches de son manteau et s’avança dans la rue, dépassant la queue et se dirigeant vers l’entrée du centre quand elle fut soudainement interrompue par un sifflement de protestation, venant de sur sa droite. Elle l’ignora et continua son avancée. « Eh toi, fait la queue, comme tout le monde ! » Grogna une voix, sans doute la même qui l’avait sifflée, quoique dans cet amas de corps impossible de savoir d’où exactement est-ce que ça venait. Plusieurs sons de protestations s’élevèrent alors de part et d’autre de la longue file, elle les ignora cependant, poursuivant son chemin. Mais, une fois à la hauteur de la porte, elle fut arrêtée par trois humains assez grands semblant assez peu accueillant. « Poussez-vous ! » Ordonna-t-elle sèchement, elle haussa un sourcil quand ils ne lui obéirent pas. Prestement, elle dégagea un pan de son manteau, et laissa apercevoir l’arme accrochée à sa ceinture, elle posa sa main sur la crosse du fusil. Elle répéta d’un ton mordant « Hors de mon chemin ! » Elle ne savait pas si ce fut le fruit de son assurance ou de la menace de son arme, mais les trois hommes à l’air patibulaires s’écartèrent pour la laisser passer. Une nuée de protestation s’élevèrent alors qu’elle marchait à l’intérieur, qu’elle se contenta d’ignorer. Une fois dans le bâtiment elle se dirigea vers ce qui semblait être le bureau d’accueil. Une secrétaire, une dame assez âgée, s’y tenait, elle y recevait les différents « clients », du moins c’était ce que Terrence supposait qu’ils étaient, du docteur Nementia. Elle se dirigea droit vers le comptoir, ignorant un nouveau flot de protestations qui s’élevèrent depuis la file qui continuait à l’intérieur. Elle s’avança, poussant les gens devant elle. Elle se posta devant le comptoir, posant ses deux mains à plat sur la surface en métal. « Terrence Jones, j’ai rendez-vous avec le docteur Nementia. » S’annonça-t-elle.

Lun 20 Juil - 1:44
Auguste Nementia
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Auguste Nementia
Sujet: Re: Tout à un prix et à un moment on finit par le payer [Auguste Nementia/Terrence Jones]

Tout à un prix et à un moment on finit par le payer
avec @Terrence Jones >// Milieu 56


Les mains jointent dans son dos, Auguste observe des dossiers sur l’affichage derrière son bureau. Il lit en silence, ses lèvres seules s’agitant alors que sa tête oscille doucement comme s’il chantait une mélodie. Une musique douce, qui piaille à ses oreilles, entre quelques photographies de fractures et de résultats sanguins. Il soupire doucement et délasse ses mains pour faire glisser un dossier un peu plus loin avec d’autres documents. « John… Le petit du lit 12B va devoir être transféré à Saint Ellioth dans la journée de demain au plus tard. Faites le nécessaire. » La voix du Père est inflexible, il ne demande pas mais ordonne voir préviens. Le garçon semble avoir de très gros soucis de récupération et ses os brisés se remettent mal, et Auguste craint de ne pouvoir l’aider correctement s’il n’est pas bien encadré. Il soupire et retire finalement son doigt de l’écran, le bouton sur lequel il appuyait redevint gris et finalement il se tourne pour attraper son siège et le retourner.

Les permanences du docteur tournaient entre ses cliniques (St Helena et St Ellioth)(Toutes deux nommées après les premiers enfants du Père) et son Centre d’Accueil : La Main Tendue. Généralement, il ne venait dans ce dernier qu’une fois par semaine, préférant déléguer les missions à ses enfants. Comme une véritable colonie, ils ne cessaient de fourmiller entre les batiments et au sein des établissements. Occupant les rôles divers d’infirmiers, médecins, éducateurs, surveillants, gardes… Il y avait tant à couvrir, tant à faire. Les Hommes armés ne manquaient pas au sein du Centre. Auguste passe une main sur le bord de son bureau comme pour activer quelque chose et attrape des lunettes aux verres légèrement jaunit par le temps ou le traitement exercé dessus. « Surveillance Extérieure : A1, A4, B2, B6, C1 et C3. » Sans tarder, six caméras de surveillance s’affichent sur le mur et l’espèce de tapis noir qui recouvre le matériaux composite formant le bureau s’illumine légèrement de quelques touches tactiles. Il observe avec dédain les gens se presser sur la ligne jusqu’à l’accueil avec un soupir navré. « Je ne fais pas de miracle, je ne peux pas faire manger toute la fange d’un coup… » Sa main droite se porte à l’arrête de son nez, qu’il pince en relevant très haut les sourcils.

Son attention est attirée par une femme qui traverse la file d’attente d’un air décidé. Encore des combats à venir. Une femme qui veut des réponses, une femme qui veut en découdre. Auguste soupire un instant, imaginant déjà les gardes intervenir rapidement. L’homme replace ses cheveux en arrière, desserre discrètement sa cravate et passe un doigt sur un panneau pour couper les vidéos. Il replonge dans les dossiers, observant les détails qui s’offrent à lui. Quelques bips énergiques résonnent dans la pièce, tirant le médecin de ses pensées avec un grognement. « Monsieur Nementia, une femme demande à vous voir. » Auguste fronce, il réfléchit un instant et consulte ses rendez vous d’un regard. « Une certaine Jones ? » Auguste dodeline rapidement, bien que personne ne soit en mesure de le voir. Il fait craquer son index puis son majeur. « Faites la entrer et escortez là jusqu’à la salle d’attente, j’arrive. » Et d’un mouvement souple, il se relève. Il pli ses lunettes et les déposes parallèlement à l’écran sur son bureau et lisse son costume avant de se diriger vers la porte. Ses pas claquent sur le sol, le port autoritaire de dirigeant intensifié en croisant ses mains dans son dos. Une oreillette discrète est visible dans son oreille droite.

Une fois sur place, après avoir passé la porte de la salle d’attente au carrelage beige et aux murs d’un jaune clair. Il étire un léger sourire poli en voyant la jeune femme et incline légèrement la tête. « Madame Jones, enchantée. » Il lui fait signe de le suivre et commence à marcher quasiment immédiatement. « Je suis confus, mais j’ai oublié de noter la raison de notre rendez-vous. Vous pourriez me rafraîchir la mémoire ? » Un mouvement de main maitrisé pour venir gratter derrière son oreille, peut-être pour mettre fin à une communication dans son oreillette. Son regard se tourne néanmoins vers elle sans cesser de marcher.

Jeu 23 Juil - 5:36
Terrence Jones
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Terrence Jones
Sujet: Re: Tout à un prix et à un moment on finit par le payer [Auguste Nementia/Terrence Jones]

La vieille secrétaire lui jeta un regard glacial, regardant vers elle, puis à la file qui ne semblait jamais finir derrière son épaule. Terrence retourna son regard, guère plus impressionnée. Tandis que la secrétaire semblait en conversation avec quelqu’un, peut-être le bon docteur, lui faisant vraisemblablement connaître sa présence, Terrence détailla la femme devant elle ainsi que son environnement. La secrétaire était tirée à quatre épingles, elle portait un de ces tailleurs à l’air chic, mais seulement en apparence, la pièce était en réalité trouée et rapiécée en de multiples endroits. Bien sûr ce n’était pas rare, surtout dans le cinquième district, de voir les gens affublé de vêtements bien pire que ça. Elle avait des cheveux d’un brun grisonnant terne, assez semblable à la couleur des nuages qui se reflétaient dans une mare de boue. Ils étaient d’apparence visqueuse, sans doute pas lavé depuis un long moment. Elle les tenait coiffés en un chignon qui s’il n’était pas particulièrement élaboré, correspondait parfaitement à l’idée visuelle que l’on se faisait de la secrétaire modèle. Étrangement la vieille bique aigrie semblait s’accommoder particulièrement bien avec le mobilier rudimentaire et le style vieillot de l’ensemble.

Après une courte discussion dont Terrence ne put entendre que quelques bribes, la secrétaire contourna son petit bureau, trottinant d’un pas guindé, et l’invita à la suivre. Elle la guida à travers une porte et un couloir, jusqu’à une grande salle qui semblait faire office de lieu d’attente. Plusieurs personnes s’y trouvaient, entassés les uns sur les autres, prenant place quand ils le pouvaient sur des chaises en plastique qui ne semblaient guère d’un grand confort. Les murs jaunis et le sol d’un beige à l’aspect sale complétaient le paysage désolé de l’étrange petit centre d’accueil. La secrétaire l’abandonna ici, au milieu de ce désordre malodorant de corps transpirants et suintants. Terrence renifla, respirant le parfum aigre de la pièce, elle regarda autour d’elle, à la marée gluante d’individus, et aux chaises, intégralement occupées, avant de se résigner et d’aller s’adosser à l’un des murs à la couleur délavée. Elle se demanda combien de temps elle devrait attendre ici, à respirer l’air vicié de cette pièce trop petite pour le monde qu’elle contenait. Heureusement, elle n’eut pas à attendre trop longtemps, comme un homme, qu’elle reconnut des photos qu’elle avait vu dans la presse, passa la porte. Le bon docteur s’avança vers elle pour la saluer, un sourire jouant sur ses lèvres. Elle se détacha du mur, s’écartant de quelques pas et se rapprochant par la même du docteur, il s’inclina légèrement devant elle et elle esquissa une légère révérence à son tour, le saluant selon les us et coutumes de la haute société. Sans attendre et après l’avoir salué, il lui fit signe de le suivre et se mit immédiatement à marcher, elle lui embraya le pas et le suivit à travers la porte puis dans le couloir.

Alors qu’ils marchaient, elle le détailla, observant de près son apparence et son habillement. Tout comme sa secrétaire, le docteur avait l’air très bien habillé, et contrairement à elle, Terrence ne voyait pas de trous ni de pièces rapiécées dans sa tenue, qui mariait agréablement chic et élégance. L’élégance, c’était ce qui semblait globalement émaner de sa personne. On pouvait certainement dire beaucoup de chose à propos du docteur Nementia, quoiqu’elle ne le connaissait guère sinon de ce qu’elle avait lu à son sujet, mais à première vue, l’on remarquait aisément et son charisme et son élégance discrète. Alors qu’ils marchaient d’un pas vif et énergique, qui correspondait à la vigueur que l’on attendait de deux bons fils et fille de la Fondation, le docteur l’interrogea sur la raison précise de sa visite. Alors qu’il lui adressait sa question, il se retourna prestement vers elle pour la regarder. Ses yeux étaient comme des balles perçants à travers son corps, elle avait la désagréable sensation d’être épiée. Ce n’était guère une sensation très commune, comme elle avait plutôt tendance à être l’observateur plutôt que l’observé. Elle se gratta la gorge, retournant son regard et répondit sans plus attendre, lui expliquant les raisons de sa présence. « Je suis à la recherche d’une personne qui aurait pu passer par ici. » Dit-elle, sans donner plus d’informations, elle attendrait pour cela de se trouver dans l’intimité de son bureau. Il était bien trop risqué de se hasarder à lui rappeler sa fonction, dans un pareil endroit et cela bien qu’ils étaient seuls présentement. On ne savait jamais, qui pouvait par une oreille leste, capter votre conversation. Elle ne désirait pas s’attirer plus d’attention qu’elle n’en avait déjà eu avec son arrivée fracassante.  

Jeu 20 Aoû - 21:40
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Sujet: Re: Tout à un prix et à un moment on finit par le payer [Auguste Nementia/Terrence Jones]


Tout à un prix et à un moment on finit par le payer [Auguste Nementia/Terrence Jones]


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