The sky above the port was the color of television, tuned to a dead channel.
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LIV ou #54

LIV
Utilisateur
LIV
Sujet: LIV ou #54

PSY#54LIVA ma mort, je souhaite léguer mon corps à la science fiction.District : 2
Type : Citoyen Androïde
Âge : 29 ans, mise en service en l’an 25.
Occupation : Espion et assassin de Psysteel.

Implant
VIP
Psysteel
La Vision Intelligente Parfaite, permet à son porteur d'afficher des des informations apportées par d'autres implants et appareils connectés comme une commuication, des signes vitaux, combien de balles il reste dans un chargeur etc... l'implant permet également d'ajuster sa vision pour s'adapter en cas de manque ou de trop-plein de lumière.

Accéssoirement il est aussi possible de changer la couleur des yeux selon son bon vouloir.
Carte GPS
Psysteel
L'implant permet à quelqu'un de se retrouver dans le labyrinthe qu'est la Ville. Non seulement il permet de savoir où on se trouve, il permet de zoomer ou dézoomer à volonté ; ce qui permet d'avoir une vue aérienne ou au contraire de voir comment est configuré une ruelle ou l'intérieur d'un bâtiment.

Psysteel ne peut être tenu responsable des troubles d'orientation et d'équilibre qui pourraient subvenir suite à l'utilisation de son implant.
Téléchargement matriciel
ECHO
En cas d'atteinte grave aux circuits de LIV, sa mémoire est téléchargée dans le serveur central de Psysteel avant d'être totalement supprimée de l'ancienne cartouche mémoire. En résulte un cadavre droïde vide.
Zeus
Psysteel
L'implant permet à son porteur de d'envoyer une décharge lors d'un contact, souvent placé dans les mains, il n'est pas impossible de le mettre ailleurs.

Psysteel n'est pas responsable des dommages que pourraient causer Zeus sur son propriétaire si ce dernier n'est pas protégé. Si vous voulez utiliser Zeus sans avoir les mains nues, des gants spéciaux sont disponibles dans nos enseignes.

Description
Si tu changes aisément d'apparence, tu restes la plupart du temps assez banal. Etant donné que tu changes souvent de peau pour tes missions il est difficile de donner une description physique cela dit on peut trouver quelques similitudes entre tes différentes identités : tu gardes la même taille et plus ou moins la même corpulence. Tu fais un mètre quatre-vingt et tu as une silhouette élancée, plutôt athlétique avec une musculature assez bien dessinée.

D’ailleurs, bien que tu n’aies pas de poumons à proprement parlé, tu as pris l’habitude de fumer et en général tu as toujours des cigarettes sur toi ainsi qu’une légère odeur qui t’accompagne, qui te colle à la peau synthétique.

Histoire

An 26,
Dans le district 2


Tu es finalement arrivé devant La Station et l’homme patibulaire à l’entrée te détail durant quelques longues secondes pendant lesquelles tu affiches un sourire un peu gêné, tu commences à comprendre comment ça se fait que la queue soit aussi longue. Tu passes une main dans tes cheveux cendrés tirés en arrière, plus par nervosité que par nécessité, pour occuper tes mains, avant de les plonger dans les petites poches de ta veste en attendant le jugement du videur, qui, tu l’espères, t’autoriseras à rentrer. Tu aimerais bien qu’il se dépêche un peu, la bruine commence à ruiner ta coupe, te dis-tu en sentant une goute d’eau rouler le long de ta tempe occupée par quelques millimètres de cheveux.

« Enlève tes lunettes. »

Sa voix grave te fait presque sursauter tant tu ne t’attendais pas à l’entendre avant l’année prochaine mais tu t’exécutes sans faire d’histoire et tu places tes lunettes rondes aux verres orangés au col de ton pull. Après une autre poignée d’interminables secondes il se met de profil et pousse la lourde porte pour te permettre d’entrer. Ce que tu fais en résistant à l’envie de souhaiter bon courage à ceux qui étaient derrière toi et qui vont continuer à prendre leur mal en patience. Mais ça tu l’oublies bien vite, tu passes une nouvelle porte, cette fois sans cerbère, et la musique répétitive te martèle les tympans. Il faut quelques instants à tes yeux pour s’habituer aux faibles lumières bleutées et tu te diriges vers l’escalier sur ta droite pendant que tu remets tes lunettes. Après avoir monté deux volées de marche tu avances sur le pont qui traverse la salle et tu te diriges vers une énième porte en prenant grand soin d’éviter les tables et les clients qui les occupent, ils n’ont pas l’air très commodes et ont l’air de chercher la moindre excuse pour se battre. Tu pousses ladite porte pour tomber sur une petite pièce éclairée par un néon clignotant émettant une couleur rosâtre, un divan rouge contre un mur et faisant face à un podium équipée d’une barre autour de laquelle danse une charmante créature.

Tu retires à nouveau tes lunettes pour les placer une fois de plus à ton col et tu te tournes vers le divan où t’attends un homme qui ne détache pas tout de suite son regard de la danseuse. Tu utilises ce temps pour l’observer et chercher dans ta mémoire si son visage correspond avec celui que tu dois rencontrer et, oui, c’est le cas. Mais pour lui le procédé n’est pas aussi rapide. Comme le videur, il t’observe et finit par se pencher sans un mot vers son long manteau pour fouiller une poche et en sortir une tablette qui prends vie à son contact. Il la tient devant lui et ses yeux passent de ton visage à l’écran. Alors tu tournes la tête sur le côté pour rendre plus visible ton tatouage qui s’étends de la partie droite de ta mâchoire inférieure jusqu’à la base de ton cou et après un dernier coup d’œil à sa tablette, il semble satisfait.

« Ce n’est pas mon meilleur profil mais c’est le plus reconnaissable. » Dis-tu avec un sourire amusé.
« Pas faux. » Il se décale légèrement sur le divan pour te laisser une place. « Aller viens t’asseoir. »

Ce que tu fais avec plaisir, tu t’adosses au mur et tu te mets à l’aise, tu fais reposer une jambe sur l’autre genou et tu profites du spectacle mais c’est de bien courte durée.

« Alors, où t’en es Léo ? » Tu pousses un soupir en te redressant, remettant ton pied sur le sol, avec son conjoint.
« Moi qui espérais qu’on n’allait pas parler boulot tout de suite. » Pour ton plus grand désarroi ton seul lot de consolation se trouve être un rire. C’est toujours ça.
« Je paye à la minute et je compte en profiter seul » Dit-il en désignant la danseuse d’un geste du menton.
« Pas partageur hein ? »
« Non, pas vraiment. »
« Tant pis, je vais l’être pour deux alors. Je sais que Fortuna et Echo préparent quelque chose : ils ont commencé à amasser des armes. Et je sais où. » Un sourire satisfait fleurit à nouveau sur tes lèvres en voyant la tête de ton interlocuteur se tourner brusquement dans ta direction. Ta main plonge à l’intérieur de ta veste pour en sortir une puce que tu lui tends. Il l’attrape avec moult précautions pour la ranger dans un écrin qu’il tire de son manteau. « Tu sais ce que va faire noter patronne adorée avec cette info ? »
« Probablement la vendre ou s’en servir pour obtenir quelque chose des Jeeves, une faveur ou deux peut-être, ou entrer dans leur bonne grâce, en tout cas c’est ce que je ferais. » Tu hoches la tête et tu te lèves pour te diriger vers la porte mais tu te tournes vers lui avant de sortir.
« Sur ce, amuses-toi bien, je ne veux pas continuer à abuser de ton hospitalité. » Il ne te lance même pas un coup d’œil mais tu ne lui en veux pas, après tout tu n’es pas aussi attirant que la danseuse.
« Bonne soirée. » Un peu laconique comme aurevoir mais c’est toujours mieux que rien tu sors ensuite de La Station et dans la rue, tu peux voir avec amusement, et un peu de tristesse, que la queue devant l’établissement n’a pas beaucoup bougé.



An 50,
dans le district 3.



Tu es nerveux, dans ta salle de bain tu te regardes une dernière fois dans le miroir, ça fait plus d’un an et demi que tu travailles mais c’est aujourd’hui que les choses sérieuses commencent. Tu regardes pour la énième fois ta cicatrice et tu finis de boutonner ta chemise puis tu peignes rapidement ta chevelure indisciplinée. Tu passes dans ton salon-chambre pour y récupérer ta veste que tu boutonnes jusqu’en haut, tu mets ta capuche, tu prends tes clés et ton casque et finalement tu sors de chez toi. Tu ne vas pas bien loin, en une petite heure en tramway tu y es. Tu sors ton portable de ta veste et tu y branches ton casque que tu mets sur tes oreilles, sous ta capuche, et tu te diriges en marchant aussi vite que tu le peux, ce qui n’est en réalité pas bien vite à cause de ta prothèse défectueuse, tu boitilles plus qu’autre chose, vers un arrêt de tram. Pour ce faire tu utilises tes implants optiques pour faire apparaître ta carte devant tes yeux. Après une vingtaine de minutes à marcher dans une foule aveugle et sourde tu montes dans un ascenseur dans lequel tu te trouves pressé contre la vitre à cause de la masse de gens et quand tu sors tu poses le pied sur la station de tram. Tu fais quelques pas pour te dégourdir les jambes et bien vite, trop vite à ton goût, un véhicule arrive et une partie des passagers débarque. Tu ne perds pas de temps et tu te dépêches d’embarquer.

Maintenant il n’y a plus qu’à attendre.

Si le début du voyage est pénible, il le devient de moins en moins alors que le wagon dans lequel tu te trouves se vide. Il faut dire que plus tu t’éloignes du centre du troisième district et moins les gens ont envie de poursuivre leur voyage. Ce que tu comprends. Tu descends après un peu plus d’une heure, comme prévu, et maintenant tu n’as plus qu’à trouver l’immeuble qui t’intéresse. Que tu trouves sans soucis, principalement grâce à un homme que tu connais. Tu le suis à l’intérieur, gardant quelques pas de distance, lorsqu’il se met à attendre devant l’ascenseur tu décides de prendre l’escalier. Lorsque tu vois enfin le numéro d’étage souhaité à moitié effacé sur la porte, tu pousses cette dernière et tu arpentes le couloir à la recherche de l’appartement de Jax que tu reconnais grâce au joli cinq-cent-quarante-huit peint sur le bêton gris à côté de la porte. Tu frappes trois fois sur ladite porte et tu attends. De l’autre côté tu entends un bruit étouffé, comme quelque chose qui vient de se briser suivit d’un juron.

« J’arrive ! »

Tu continues d’attendre patiemment et une minute et quelques plus tard la porte s’ouvre. Tu retires ta capuche en posant un pied à l’intérieur de la. Les yeux de Jax Gray se transforment en soucoupes avant de brusquement se fermer. Il commence à lever les bras pour se protéger de ton coup mais il n’est pas assez rapide et ton poing s’écrase sur son nez, tu ressens une partie de la force de l’impact remonter dans ton bras tandis que de l’autre tu rattraper le corps inconscient de ta cible par son t-shirt pour éviter qu’il ne fasse du bruit en s’effondrant sur le sol. Sans perdre de temps tu rentres à l’intérieur du petit appartement en tirant son locataire que tu poses ensuite délicatement pour aller fermer la porte. Tu récupères Jax et tu cherches un miroir puis tu compares vos visages : les cheveux roux coupés courts, la barbe bien fournie, les yeux bleu clair comme des éclats de glace, la cicatrice… tout y est ; tout ou presque, le souci étant que maintenant son nez n’est plus très droit mais ce n’est pas bien grave. Tu prends quelques minutes pour tuer ta victime par strangulation puis tu passes un coup de fil, sans mauvais jeu de mot.



An 51,
aux frontières du district 3.


Tu arrêtes la voiture en face d’un immeuble d’habitation, sous les regards peu amènes des passants, probablement parce qu’ils vous envient, et tu en sors en boitillant avec tes camarades. La main posée sur la poignée du pistolet à ta ceinture, tu entres dans le bâtiment après Kierra et vous vous dirigez vers l’ascenseur. Tu notes qu’Isaac ne monte pas à l’intérieur et reste en bas à surveiller. Vous montez pendant de longues minutes silencieuses puis vous sortez sur un couloir et vous reprenez votre marche, que tu fermes. Tu en as l’habitude, tu es le plus lent du groupe alors tu es souvent derrière. Une fois arrivé au bout de ce long couloir, Kierra toque à une porte qui s’ouvre et un homme lui demande ses armes, qu’elle donne sans discuter avant d’entrer, la porte se referme ensuite sur vous.

« T’as reconnu le tatouage qu’avait le gars à l’intérieur ? » Miryam secoue la tête.
« En tout cas c’est pas très légal tout ça, on aurait dit un signe de gang. » Elle lance un regard en coin à la porte et tu hausses les épaules.
« J’imagine qu’on a besoin de tous les alliés qu’on peut trouver. »
« L’idée me plaît pas. » Gronde-t-elle, ce qui te dissuade de répondre quoi que ce soit. A la place tu t’adosses au mur, tu croises les bras et tu laisses un silence gênant s’installer ; un silence bientôt rompu. « Jax ? »

Tu tournes la tête vers ta collègue qui te regarde à moitié, tu hausses un sourcil.

« T’es libre demain ? »
« Ouais, ce soir aussi d’ailleurs. »
« Pas moi, Kierra m’a dit qu’elle avait besoin de moi. »
« Pourquoi ? »
« Un gros coup mais… » elle est hésitante, son regard n’arrivant plus à soutenir le tiens.
« C’est pas grave, Kierra me le dira bien elle-même. »

Vous échangez quelques banalités jusqu’à ce que finalement votre boss sorte et vous faites le chemin retour en silence. Isaac a l’air content de vous voir sortir de l’ascenseur, sûrement parce que, seul, il a dû s’ennuyer comme un rat mort. Une fois dans la voiture, après que tu aies commencé à rouler Kierra qui est assise à côté de toi se tourne vers l’arrière.

« Je vais avoir besoin de vous ce soir. » Un coup d’œil dans le rétroviseur interne te permet de voir Isaac et Miryam hocher la tête.
« Où est-ce qu’on va, boss ? » Tu te tiens prêt à changer de direction en fonction de sa réponse.
« Déposes-nous au Chantier, on se débrouillera à partir de là. »

Tu allais ouvrir la bouche pour dire quelque chose mais tu te ravises et tu obéis. Kierra te lance un regard un peu désolé mais ne rajoute rien et une fois que vous arrivez devant le garage NKW, ils descendent et tu te dépêches de rentrer chez toi pour prévenir Elise Geller, ta créatrice, employeuse et Directrice Générale de Psysteel. Même si tu n’as pas grand-chose à apprendre c’est toujours mieux que rien et, qui sait, peut-être que ça fera la différence bien que tu en doutes.




Hors Rôle-Play
Pseudo : Deron.
Âge : 23 ans.
Petit mot ? : Merci Ben' pour ta patience.
Avatar : Gabriel par Dan LuVisi.
Code :
[/b]

Sam 15 Aoû - 18:54
Auguste Nementia
Utilisateur
Auguste Nementia
Sujet: Re: LIV ou #54

Eh bien, quel travailleur ce 54 ! Officiellement la bienvenue à toi et je suis heureuse de voir que le forum t'ai inspiré. Je suis également ravie de voir que tu t'es impliqué jusqu'à poser des tas de questions, héhé. Le perso est siiiiii stylé !

Dim 16 Aoû - 3:28
LIV
Utilisateur
LIV
Sujet: Re: LIV ou #54

Merci o/

Et que veux-tu, faut bien mériter son pain éléctricité quotidienne.

Dim 16 Aoû - 15:27
Klexos
Administrateur
Klexos
Sujet: Re: LIV ou #54




Félicitations, LIV !


Aujourd'hui est le jour où vous avez failli capturer le capitaine... Non attends, je me trompe de script. Aujourd'hui est le début du reste de votre vie ! Vous êtes validé sur Kepler, ce qui peut faire partir des plus grands succès de votre vie entre "avoir appris comment cuire des pâtes" et "avoir appris à porter un masque pendant le COVID".


Nous avons rempli votre profil avec les informations fournies sur votre fiche de présentation et vous pouvez désormais aller RP ! Vous pouvez, si vous le souhaitez, faire une demande de RP ou une fiche de RPs / liens (un sujet par personnage !).

Nous avons aussi concocté pour vous quelques catégories dont vous pourrez retrouver les descriptions complètes ci-dessous :
On espère vous y retrouver très vite ! À bientôt !

Dim 16 Aoû - 21:21
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: LIV ou #54


LIV ou #54


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