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Les factions

Kenopsia
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Kenopsia
Sujet: Les factions

LA GUERRE N'EST PAS ENCORE DÉCLARÉE

Fondation - Séparatistes - Néolibéraux - Criminels


Rien n'est gravé dans le marbre et des ponts peuvent exister entre ces diverses visions du monde.




LA FONDATION



source de l'image : Assembly par artofjokinen

La Fondation existe de mémoire d’homme depuis que le monde est monde. Presque une entité à part entière, son idéologie est inculquée à toutes les strates de la population et cela depuis le plus jeune âge, peu importe la manière. Son principe est simple dans l’idée bien qu’il soit difficile à mettre en place : tout est sacrifiable pour peu que ce soit au nom de l’élévation de l’Humanité.

Si le but est viable, si l’avancée est avérée, vous devez être en mesure de sacrifier tout ce qui vous est cher : votre famille, vos amis, vous-même… Tout ça pour le bien commun. Et une telle sentence ne souffre d’aucune exception car faire des exceptions revient à un acte de trahison grave qui serait sévèrement puni.

Le bien commun passant avant vous-même, la désertion ou le simple refus d’obtempérer par peur de l’effacement ou de la mort est irrecevable. Nous sommes tous voués à disparaître pour garantir à l’Humanité de briller au-dessus de toute forme de vie et de régner sur toute terre.

La Fondation considère toute zone peuplée comme étant sous son joug et sous ses ordres. Ses lois sont implacables et incontournables. Ses sentences sont généralement abusives dans le but de contenir toute pensée déviant de son credo. Mais face à toute montagne infranchissable, il y a des braves qui décident de la gravir quel qu’en soit le prix. À ces adversaires, la Fondation n’accorde que peu d’intérêt. Ils sont peu nombreux, faibles et insignifiants. On les dépeint souvent comme des marginaux de la société, incapables de comprendre ce que peut être la vie en communauté et pour une communauté.




LES SÉPARATISTES



source de l'image : Paper Town par Vitaliy Peshkov

Renégats face à l’ordre mis en place, combattants de la liberté, individualistes fiers, terroristes craints et parangons d'égoïsme, les séparatistes sont pour la plupart des agents discrets. Ils vivent comme n’importe quel civil ou fonctionnaire de la Fondation sans faire de vagues afin de se fondre au mieux dans la masse.

En désaccord total avec le système, ils dénigrent pleinement la politique du sacrifice de l'individu, considérant qu'il doit primer sur le groupe. Ils refusent de voir les rêves de chacun réduits à néant par l'indifférence froide et pragmatique à laquelle incite le gouvernement.

Tous les séparatistes ne vivent pas dans le secret pour autant et certains sont même les têtes d’affiches de l'insurrection. Ils se montrent à visage découvert lors des assauts et des missions de déstabilisation politique. Tout cela dans le but de donner une identité au soulèvement populaire. Parmi les plus célèbres on peut compter Henri Musson qui se dressa contre l'accroissement de la surveillance.

Désormais, les déviants les plus connus et les plus recherchés par le gouvernement sont envoyés dans une prison d'état avec ceux qui n'ont pas les moyens de se cacher ainsi que leurs proches. C’est pour cela que fut formé le Refuge, une sorte de bidonville qui fonctionne grâce à des générateurs subtilisés lors de missions de ravitaillement par les combattants et habilement dissimulés dans les méandres de la ville souterraine.

Les séparatistes luttent contre l'utilisation de la puce qui trace les mouvements, contre la surveillance accrue, contre la répression des libertés individuelles. Ceux qui sont implantés ne peuvent la retirer sans endommager gravement leur système nerveux. Aussi, diverses techniques plus ou moins gourmandes en énergie permettent au Refuge de rester indétectable malgré la présence de près d’une centaine d’immigrés venus demander l’asile.

Ils n'hésitent pas à mettre les leurs et parfois des civils en danger pour mener à bien leurs projets et ils ne reculent devant aucun danger ni aucun sacrifice. Au final, à leur manière ils ne sont pas si différents de la Fondation.




LES NÉOLIBÉRAUX



source de l'image : Talking business par Sveta Kudakova

Peu préoccupés par les conflits idéologiques, leur but est d’obtenir toujours plus de visibilité et pour cela tous les moyens sont autorisées : de la publicité humaine (tatouages aux couleurs de l’entreprise, vêtements de marques, habitations défigurées par d'imposantes projections de réclame…) au lavage de cerveau par un bombardement constant de boniments, les possibilités sont infinies. De votre naissance à vos 25 ans vous pouvez être soumis à plusieurs milliards de spots publicitaires en tous genres. Rien ne les arrête, quitte à enfreindre quelques lois de seconde zone. L’amende est souvent insignifiante par rapport aux profits engendrés pour avoir été remarqué.

Il est difficile de passer à côté de l’existence d’une mégacorporation tandis que les entreprises indépendantes doivent se faire plus discrètes pour ne pas être malmenées par leurs grandes sœurs. La plupart des néolibéraux parlent au moins un cantonais correct, langue souvent utilisée lors des échanges commerciaux. C’est bien l’une des seules traditions qu’ils respectent, préférant se tourner vers la nouveauté et l’originalité dans la plupart des cas. L’image est très importante pour eux, bien plus que tout autre chose. L’image d’eux-même comme de l'entreprise à laquelle ils appartiennent. La plupart des employés sont soumis à des contrôles de santé et de performances réguliers.

Ils connaissent des parcours scolaires variés : tantôt embauchés à la sortie de l'ACoMA, tantôt achetés dès la naissance afin d'être formés à une tâche spécifique, tantôt librement employés et éduqués dans des écoles privées dont la qualité varie essentiellement en fonction des frais d'inscription. Les diplômes obtenus sont le plus souvent valables uniquement dans les groupes qui pourvoient la formation et ferment les portes pour une reconversion chez la concurrence.




LES CRIMINELS



source de l'image : Crime Scene Concept par Look, it's Seo

Les criminels n’ont d’autre but que s’enrichir à tout prix. À l’instar des néolibéraux, ils ne reculent devant rien pour amasser un pactole leur permettant d’asseoir une certaine autorité. Mais, contrairement à eux, leur fond de commerce repose exclusivement sur les interdits gouvernementaux. Commerce d’armes non-réglementaires, trafic de drogues, assassinats, braquages… Ce qui est défendu par la loi a cet avantage de payer grassement. Ils affectionnent les zones non surveillées par les forces de l’Ordre. Ils opèrent généralement depuis les Districts 4 et 5, à l’abri des regards.

La plupart d'entre eux est entraînée au combat - ou au moins à la fuite. Par formation, pour avoir officié au sein de l'Ordre, ou par expérience des quartiers à risques. Ces personnes sont le plus souvent des rebus de la société, Exes ou non, à la recherche d’un moyen de survivre. Et, pour survivre, tous les coups sont permis.

Le criminel moyen ne saurait que difficilement s’encombrer d’états d’âme. Il ne fait que son travail. Il n’a de son point de vue pas le choix et donc aucune raison de s’en vouloir. Sans être systématiquement impitoyable, Il n'aura que peu de scrupules à détourner le regard d’une situation moralement inacceptable.

Malgré leur statut de hors-la-lois les criminels ont beaucoup à perdre en décidant de faire affaire avec les séparatistes. Toutefois, il leur arrive de leur fournir informations, armes, plans, etc. Du moment qu’ils sont payés, les guerres d'opinions ne les concernent pas.
à lire également : la criminalité



Dernière édition par Kenopsia le Mar 19 Mai - 22:45, édité 1 fois

Mar 19 Mai - 18:50

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